Textes de Virginie de Rocquigny, journal de Jeanne Loiselet.
«Dans ces pages, il y a la fraîcheur des petits matins et le goût des premières cerises, le clapotis de la rade et l’odeur âcre du goémon, le souffle que l’on retient dans les descentes et le feu qui brûle les joues dans l’effort.»
Un immense merci au génial trio de Formes Vives, sans qui ce projet n’aurait pas été aussi tactilement abouti.